Un repas bien mérité

*Amaki et Sakuyia qui avaient été entrainé tout la journée au Kendo, étaient bien fatigués à présent. De plus Amaki qui n'avait pas l'habitude de sauter un repas aurait été capable de manger une vache entière. Ils avançaient tout les deux dans la rue, il faisait à présent nuit et le ciel était encore dégagé, on pouvait donc aprecevoir les étoiles. Puis ils arrivèrent devant la porte du Nakashi. Mais au moment ou Amaki s'avançait pour ouvrir la porte, elle s'élança pousser par quelqu'un qui sortait dasn le tête de Amaki. La personne qui sortait ne s'arrêta pas et lança même:*
" Vous devriez être couché à cette heure la les bébés."
* Sakuyia se précipita sur son ami pour voir s'il n'avait rien de cassé. Il était un peu sous le choc mais apparemment allait bien et elle en fut soulagé. Masi Amaki qui avait repris très vite ses esprit pris un kunai et le lança à côté histoire de faire peur à l'individu. Mais cela à plutôt eut l'effet contraire. Alors Sakuyia poussat précipitamment à l'intérieur et partirent se chercher une table avant que le monsieur rentre. Puis firent mine comme si rien n'était et attendirent un serveur*

bientôt, un serveur les repéra et s'empressa de venir prendre leur commande. à son arrivée, il n'eu pas le droit à la parole car AMAKI avait déjà lancé sa phrase sur un ton glacial:
"qui était cet homme ?"
le jeune serveur fut d'abord surpris par la voix qu'employait ce nouvel arrivant. n'obtenant pas de réponse, AMAKI réitera sa question ms, ayant eu l'impression d'offenser le serveur, plus calmement cette fois. le serveur fit d'abord mine de ne pas savoir de quoi parlait le jeune homme ms voyant son regard insistant, avoua:
"c'est l'ancien propriétaire de ce bar. il à du revendre et le nouvel entrepreneur ne lui plait pas du tout, il vienne d'avoir une sacrée discussion en cuisine !"
le serveur jeta un rapide coup d'oeil autoure de lui comme pour vérifier que personne ne les écoutais puis changea de sujet et l'expression de son visage devint moins grave, plus chaleureuse:
"que puis-je vous servir ?"
SAKUYIA ne prit même pas le temps de réfléchir et commanda un okonomiyaki. AMAKI, lui hésita un long moment puis demanda:
"je voudrais 3 Dashimaki Tamago, 2 Gyu Don un grand verre de limonade ainsi qu'un grand de Mirin.
- ce sera "tout" ?
- oui, merci."
le serveur sans alla donc et AMAKI fit de nouveau fasse à son amie.

*Le serveur étant parti et maintenant qu'ils svaient que le monsieur ne viendrait pas, Sakuyia était soulagée*
Ouf je crois qu'on la échappé belle. En tout cas tu as très bien lancé ton kunai tout à l'heure. Bien qu'après j'ai eut un peu peur de la réction de l'autre. Enfin bon c'est passé.
*Sakuyia n'oait pas trop le regarder dans les yeux mais ne laissait rien apparaitre de ce qui c'était passé au moment de la douche.*
Ho tu dors bien chez moi ce soir??? Je suis désolée j'ai oublié si tu restais. Mais n'y vois pas que je veux plus de toi.
*Elle voulais se rattraper car la question pouvait être mal interpréter. Le serveur revenait avec les plats, et les déposa sur la table.*
(Amaki)-Hum ça à l'air bon, et puis je veux bien resté chez toi si ça ne te gêne vraiment pas.
*Ils commencèrent à manger mais peu de temps après Sakuyia avait viré au blanc car le monsieur de tout à l'heure était rentré dans le restaurant et venait de tapoter sur l'épaule d'Amaki*

AMAKI resta un moment à ce demander quelle était la raison du teint soudain blanchâtre de son amie. puis, voyant quelle ne le regardait plus mais quelle fixait un point situé plus en hauteur. il se retourna lentement, laissant germer l'idée que ce pouvait être l'homme de tout à l'heure. sa tête pivota puis il la releva. les traits de l'individu était creusé par la colère et ses sourcils se rejoignaient presque. un veine battait la chamade sur sa tempe et il faisait craquer sa machoire. son visage était carré depuis ça coupe de cheveux qui faisait penser à quelqu'un servant dans l'armée, jusqu'à son menton qui faisait penser à celui d'un boxeur averti. ayant déjà eu une expérience du genre, AMAKI se releva évitant ainsi tout risque de position inconfortable. l'homme réajusta son long imperméable noir dégoulinant d'eau et saisit le jeune homme au col en tentant de l'intimider. celui-ci, ayant du se battre de nombreuses fois pour une quelconque raison, fixa son aggresseur droit dans les yeux, le regard ferme presque insolent, narquois.
"écoute moi petit merdeux ! t'as pas intéret à recommencer ce que t'as fais tout à l'heure ! OK ?"
l'expression d'AMAKI se rafermi d'avantage et il pri une attitude insolente, se rapprochant presque du sadisme grace a l'étrange sourire maintenant déssiné sur ses lèvres. puis il détacha doucement:
"sinon ?"
l'homme paru d'abord surpris par le ton qu'il avait employé ainsi que par ce qu'il avait dit mais se ressaisit dans la seconde qui suivit.
"sinon, je viens faire un petit tour chez ta chère et tendre amie que voici et je l'emmenerais dans un petit coin tranquil"
l'expression de son visage avait atteind un degrès de sadisme qui fit d'abord vacillé AMAKI. il sentit la colère monter en lui, raidit ses cuisses, ses molets et prononca entre ses dents assez fort pour que lui seul entende:
"toucher là, et je vous tue ! et croyez moi, la mort ne me fais plus peur, elle est proche de moi, très proche. c'est mon amie, ma famille."
devant la détermination et les paroles à la fois mystérieuses et terrifiantes du jeune homme, l'individu le lacha. il vit alors que les yeux avant noir corbeau de son "interlocuteur" avait changé et était maintenant entièrement rouge sang. AMAKI s'en rendit compte aussi et se rappela que la même chose lui était arrivé 10 ans auparavant, lors du massacre de son clan, lorsque ça fureur avait atteind un point impressionnant. l'homme aperçu dans ses yeux comme une vision d'horreur, une vision d'une chose en furie détruisant et tuant tout ce qu'elle trouvait et, devant cette apparition, il préféra reculer et sans aller non sans marmoner des insultes incompréhensibles ni en lançant des regards noirs à AMAKI. celui-ci se retourna donc, l'air sereint, l'expression de son visage saine, ses yeux noirs de jais comme à leur habitude, comme si rien ne s'était passé. il sourit et poursuivit son repas.

*Encore sous le choc elle n'avait pas repris le repas et gardait les yeux fixé sur Amaki, puis voyant qu'elle n'avait pas retoché à son assiette*
(Amaki)- Heu ça va, tu es encore sonnée par l'autre baka?
*Comme tirée subitement d'un rêve, elle sursauta et dévisagea Amaki pour s'assurer qu' il lui parlait bien et non à quelqu'un d'autre*
- Ho heu oui oui ça va, ne t'inquiette pas.
(Amaki)- Tant mieux, aprce que je veux pas que tu ailles mal.
*Sakuiya lui sourit et repris le repas, mais un silence s'était installé à la table. Ce n'était pas un silence de calme, mais plus un silence ou la tension était de regne. Ou l'on sent peu à peu que quelquechose va de plus en plus mal. Puis ne tenant plus ce jeu stupide, du roi du silence Sakuiya se leva, tira sa chaise à côté d'Amaki puis se rasseya. Elle ouvrait la bouche mais aucun son ne sortait comme si elle ne trouvzit pas les mots qu'elle voulait puis soudain, comme par enchantement la parole sortit de nouveau.*
S'il te plait dis moi ce que tu lui as dis pour qu'il parte, il n'aurai pas du partir aussi subitement, en plus on aurait dis qu'il avait eut peur de toi, dis moi que je me trompe s'il te plait!!! Dis-le moi.
*Amaki ne savait que répondre car il était surpris par ce que venait de dire Sakuiya il réfléchissa très vite puis une idée lui vint*
(Amaki)- Mais non t'inquiète pas, il à eut peur parce que je lui ai dis que mon oncle était l'hokage et il m'a crut c'est tout.
-D'accord je te croit.
*Puis de tout le repas ils ne furent plus dérangé, ils finirent leur assiettes. Ils se levèrent et se dirigèrent vers la porte.*



chez moi, c'est ou? par là