il parvint donc au bout d'un quart d'heure environ à la salle. il dévérouilla aisément la porte, principalement aidé par la douce lumière blanchâtre de la pleine lune.
*que la lumière soit ! et la lumière fut*
il venait d'allumer une seule partie des lampes pour ne pas réveiller les habitants alentours. il se dirigea ensuite vers les vestiaire ou il se changea et rejoigni le tatami en compagnie de son livre. il se déchaussa, salua le tapis, monta dessus et se dirigea vers le centre ou il s'inclina devant les tableaux. il posa son livre à terre et s'accourpi devant. il l'ouvrit à la première page pour y connaître le sommaire. c'est assez complet. il passa immédiatement à la page suivante où on expliquait les mouvements de bases, nécessaires aux coups plus évolués. il lu et observa les illustrations un long moment puis se leva d'un bond. il se tourna face aux cadres dans le but d'avoir un axe, un point de repère. il exécuta la première frappe dans le vide; son entrainement au MUAY THAÏ démarrait. il repri ce mouvement une dizaine de fois puis passa au second. quelques 2H30 plus tard, il avait effectué un dizaine de frappes différentes et commançait à les enchainer. bientôt, il s'en alla chercher quelque chose dans la reserve et il en ressorti avec 3 pantin de frappe en paille avec 2 cibles chacun; sur la tête et le torse. il les disposa en triangle et se plaça en son centre. il commença donc une série d'enchainement visant à frapper plusieurs ennemis en un minimum de temps et avec un maximum de force et de précision et, par la même occasion de laisser le moins de temps possible à ses "adversaires" de bloquer voir riposter. il ne cessa de frapper que lorsque tout les pantins étaient brisés et tombés par terre, près de 1H30 plus tard. il observa ses mains, coudes, genoux et pieds tuméfiés mais ne voulue pas abandonner alors qu'il lui restait près de 2 heures devant lui. il reprit donc son entrainement depuis le début car il ne trouvait pas ses mouvements assez puissants, précis... il entendait déjà les premiers coqs chanter mais ne réagissait pas et poursuivait mais, tout à coup, il percuta. 7H30 passés ! si SAKUYIA se réveillait ou même ses parents et qu'ils ne le trouvaient pas dans le coin du salon, il les fairait s'inquiter et subirait un interrogatoire à son retour. il débarassa donc toutes ses affaires, alla se changer, éteignit les lumière, referma le cadena et parti au pas de course. bien heureusement, à son arrivée, la maison était calme et on aurait pu dire que personne ni vivait si le ménage n'était pas fait et la corbeille à fruit, pleine. il se dirigea vers son matelat, replaça ses vêtements et son sac comme avant son départ, banda ses membres blessés et s'enfourna dans son sac de couchage et s'endormi presque aussitôt.